Après avoir failli perdre la vie à cause d'une erreur médicale lors de son accouchement, une jeune femme carriériste plaque tout pour se consacrer à son rêve secret, devenir écrivain.
Rosalie, Gabriel, Tim, Anton et Ambre formaient un groupe d'amis soudé jusqu'à ce qu'un drame les éloigne les uns des autres. C'est pourtant un appel au secours qui, cinq ans après, va à nouveau les réunir. Entre silences amers et regrets, ces retrouvailles vont raviver leurs douleurs fantômes et bousculer leurs certitudes : mènent-ils vraiment la vie dont ils rêvaient ? Un rendez-vous à la croisée des chemins qui leur prouvera qu'on peut se perdre de vue, mais pas de coeur... Et qu'il n'est jamais trop tard pour changer de vie et être heureux. L'amour des autres, le goût du bonheur, la guérison des blessures passées : après le succès de Je revenais des autres, Melissa da Costa nous fait partager, avec délicatesse et sensibilité, une formidable histoire d'amitié et de vie.
Une ode à l'amitié Le Jardin des Cybèles est une maison de repos qui accueille des personnes abîmées par la vie. Cet été-là, elle ouvre ses portes à deux nouvelles pensionnaires : Valérie et Anna. Quelques jours après leur arrivée, elles font la connaissance de Charline, la propriétaire d'un petit salon de thé voisin. Ce lieu chaleureux devient un véritable refuge pour les deux femmes, qui adorent s'y retrouver pour déguster des gâteaux tout en bavardant. Mais une nouvelle dramatique va chambouler l'existence de Charline et perturber ce fragile équilibre. Valérie et Anna décident alors de mettre leur propre souffrance de côté pour épauler leur amie dans cette terrible épreuve. Toutes trois embarquent pour une virée au bord de la mer. Le temps de ce séjour improvisé, elles comptent bien réapprendre à profiter de la vie !
Cornouailles, 1947. Le révérend Seddon rend visite au père Bott, comme tous les étés. Malheureusement, ce dernier n'a pas de temps à lui accorder cette année, car il doit écrire une oraison funèbre après la catastrophe qui a eu lieu dans les environs : l'hôtel de Pendizack, manoir donnant sur une paisible crique, vient de disparaître sous l'éboulement de la falaise qui le surplombait. Sept résidents ont péri, ensevelis sous les rochers : mais lesquels ? Et quelle était l'occasion de cet étrange festin nocturne, juste avant le drame ? Le temps d'une semaine menant à l'éboulement fatal, on découvre chacun des pensionnaires, dans toute son excentricité : l'aristocrate individualiste et sa progéniture pourrie-gâtée ; l'hôte pantouflard ; l'intendante fouineuse ; la femme de chambre au coeur brisé ; l'écrivaine bohème et son chauffeur gigolo ; le couple endeuillé ; la famille miséreuse ; le chanoine acariâtre et sa fille apeurée. L'idée de ce roman est née en 1937, d'une discussion entre Margaret Kennedy et des amis écrivains : chacun devait écrire une nouvelle où un personnage moderne incarnerait l'un des sept péchés capitaux. Le projet n'a pas abouti, mais Kennedy n'y a jamais tout à fait renoncé et la graine a germé une dizaine d'années plus tard. Entre-temps, la guerre était passée par là, offrant à Kennedy le contexte de pénuries, de rationnement et de querelles politiques qui semble exacerber les tares de chacun de ses personnages.
Anglet, fin juillet. À la réception du Club Océan, Germain accueille les nouveaux arrivants. Au milieu des habitués, certains clients goûtent pour la première fois aux « joies du club ». Chantal débarque sans grand enthousiasme avec ses petits-enfants. Matthias, papa solo, a cédé à l'appel de l'option garderie. Fanny est venue en famille pour tenter de resserrer les liens. Tous vont plonger dans un huis clos dont la feuille de route est claire : faites connaissance et a-mu-sez-vous ! Mais qu'a-t-on à partager avec des êtres si différents ? Quels secrets ont-ils emporté dans leurs bagages ? Un roman solaire, plein d'émotion et d'humanité. Une histoire d'amitié et de seconde chance.
Iris, 33 ans, porte toute sa vie dans une valise. Théo, 18 ans, a laissé de côté tous ses rêves. Jeanne, 74 ans, n'attend plus rien de l'existence. Rien ne destinait ces trois personnages à se rencontrer jusqu'à ce que le hasard les réunisse sous le même toit.
La vie de Megg est difficile. Sa fille traverse sa crise d'adolescence, son mari ne l'aide pas dans les tâches qui lui échoient comme femme au foyer et sa mère a été emportée prématurément par un infarctus. Alors qu'elle vide sa maison en vue de la vendre, elle trouve une pellicule qu'elle fait développer. Elle y découvre sa mère au bras d'un inconnu. Avec sa fille, elle part à sa recherche.
« J'attrape ma valise et me dirige vers ce qui était autrefois ma chambre. J'ouvre les volets : il y a le balcon, puis la mer, le Vésuve, et toute la baie. Je me retrouve face à mon enfance et à mes souvenirs. »Luna arrive à Naples contre son gré : son père est gravement malade. Rien, ici, ne lui a manqué. Ses repères, ses amies, son amour sont désormais à Milan. Alors pourquoi revenir ? Pourquoi être au chevet de son papà, au passé trouble, et avec lequel elle a coupé les ponts ?Mais Napoli est là, sous ses yeux : ses ruelles animées et sales, ses habitants souriants et intrusifs, sa pizza fritta, délicieuse et tellement grasse, son Vésuve, beau et menaçant...Est-il seulement possible de trouver la paix dans une ville si contrastée ? Et si ce retour aux sources sonnait finalement l'heure de l'apaisement ?
Entre son couple qui s'enlise et son quotidien d'infirmière, Elynn a l'impression de ne pas évoluer dans sa vie. Afin d'ouvrir une brèche dans sa routine, elle s'inscrit à un club de sport. Cette initiative déclenche alors une réaction en chaîne qui, de rencontres vivifiantes en expériences hasardeuses, libère peu à peu Elynn de tout ce qui la retenait d'exprimer sa vraie nature.
A 85 ans, Gina mène à Paris une existence modeste mais remplie de petits bonheurs, dont un immuable : chaque semaine, elle s'autorise à jouer vingt euros de sa maigre retraite aux machines à sous. Lorsque, un jour de juin, elle gagne un million d'euros, elle décide de partir sur les traces de son passé afin de partager cet argent avec chacune des personnes à qui elle veut exprimer sa gratitude.